1 1940, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). L’heure sévère (juin 1940)
1 t pour satisfaits de leur succès de librairie : «  mea culpa  ». Mais quelles fautes avaient donc commises ces millions de femmes e
2 1940, Articles divers (1938-1940). L’heure sévère (juin 1940)
2 ent pour satisfaits de leur succès de librairie : mea culpa . Mais quelles fautes avaient donc commises ces millions de femmes et
3 1940, Articles divers (1938-1940). L’heure de la Suisse (1er août 1940)
3 ord fassent les premiers pas et disent le premier mea culpa . Commençons une bonne fois, risquons-nous, allons chez le voisin et d
4 1956, Preuves, articles (1951–1968). Les joyeux butors du Kremlin (août 1956)
4 de l’Histoire », on aurait tort d’attendre aucun mea culpa des superstitieux de ce culte. Leur discipline exclut toute distincti
5 1957, Preuves, articles (1951–1968). Sur deux écrivains politiques (juin 1957)
5 ifiât Budapest, soit à ce qu’il fit précéder d’un mea culpa sa condamnation du crime. Mais non. Sartre a décidé de protéger sa re
6 1962, Arts, articles (1952-1965). Sartre contre l’Europe (17 janvier 1962)
6 empire colonial ? Nous avons mieux à faire qu’un mea culpa traduisant nos complexes personnels. Devant la crise économique et la
7 1962, Arts, articles (1952-1965). L’Europe est un colosse qui s’ignore (encore) (27 juin 1962)
7 onialisme, exigent de nous bien autre chose qu’un mea culpa rageur et masochiste, tellement plus facile que l’action. Les vertus
8 nées vers l’Occident, par un tardif et impuissant mea culpa . Nous ne sommes pas seuls en cause dans cette affaire. Nous sommes po
8 1962, Les Chances de l’Europe. IV. Les nouvelles chances de l’Europe
9 onialisme, exigent de nous bien autre chose qu’un mea culpa rageur et masochiste, tellement plus facile que l’action. Les vertus
10 nées vers l’Occident, par un tardif et impuissant mea culpa . Nous ne sommes pas seuls en cause dans cette affaire. Nous sommes po
9 1962, Les Chances de l’Europe. Appendice : Sartre contre l’Europe
11 empire colonial ? Nous avons mieux à faire qu’un mea culpa traduisant nos complexes personnels. Devant la crise économique et la